La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Photo: THX/TTXVN |
Selon des sources proches du dossier, lors d'une réunion des émissaires de l'UE, vendredi, l'ambassadeur d'Italie a proposé de modifier le texte en disant qu'il devrait faire référence aux pourparlers de paix et définir un cessez-le-feu immédiat comme l'un des premiers objectifs de l'UE. Cette proposition a été soutenue par la Hongrie et Chypre, qui figurent parmi les États les plus critiques à l'égard d'un nouveau train de sanctions de l'UE contre la Russie, bloqué depuis des semaines en raison de divisions internes. La Hongrie s'oppose à l’embargo pétrolier prévu, tandis que Chypre s'inquiète d'une proposition d'interdiction des ventes de biens immobiliers aux citoyens russes.
Dans un discours prononcé mardi au forum de Davos, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avait adopté une position dure à l'égard de la Russie et n'a fait aucune mention des pourparlers de paix.