L’agence de presse sud-coréenne Yonhap a fait savoir que selon les dires du département d’État, les États-Unis seraient prêts à faciliter ou à accélérer le dialogue entre leurs deux principaux alliés en Asie.
Précédemment, Washington avait refusé d’agir en qualité de médiateur dans ce conflit. Or, lors d’une conférence de presse du 9 août, le président américain Donald Trump s’est dit soucieux de l’aggravation des relations bilatérales Séoul-Tokyo, dont les conséquences pèsent à la fois sur les aspects économiques et sécuritaires.