Les six principaux jeux de données internationales compilés par l'OMM pointent tous les mêmes coupables: "les concentrations toujours plus élevées de gaz à effet de serre et la chaleur accumulée", souligne l'organisation onusienne, qui corrobore les conclusions du programme européen sur le changement climatique Copernicus, publiées mardi, et celles publiées simultanément jeudi par l'office météorologique des États-Unis (NOAA) et la NASA.