Le premier ministre britannique Boris Johnson
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Ce même jour, l’ONU a annoncé que les concentrations dans l’atmosphère des trois principaux gaz à effet de serre, facteur de réchauffement, ont atteint des niveaux records l’an dernier, malgré le ralentissement de l’économie imposé par la pandémie de COVID-19.
La semaine dernière, le président de la COP26, le Britannique Alok Sharma, a estimé qu’il serait «plus difficile» d’obtenir un accord à Glasgow qu’à Paris, tandis que le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a jugé que les engagements actuels des États étaient «un aller simple vers le désastre».