Le négociateur européen Michel Barnier (droite) et son homologue britannique David Frost. Photo: AVI
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Le Premier ministre britannique Boris Johnson avait jugé un échec très probable. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a quant à elle déclaré aux dirigeants des 27 réunis en sommet à Bruxelles que les espoirs d’un accord étaient "faibles".
En dépit de ces déclarations, l’annonce d’une poursuite des discussions, afin d’arracher un accord in extremis avant le 31 décembre, reste possible.
Les discussions butent sur trois sujets: l’accès des pêcheurs européens aux eaux britanniques, la manière de régler les différends dans le futur accord et surtout les conditions que les Européens exigent des Britanniques pour éviter toute concurrence déloyale.