Le président du Conseil européen Donald Tusk. Photo: AFP
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Autrement dit, le no deal apparaît comme une solution par défaut.
Sans accord, les contrôles douaniers seront rétablis, et évidemment cela allongera le temps de transport des marchandises. Le Royaume-Uni deviendrait alors un « simple » partenaire commercial, à qui l’Union européenne devrait appliquer le même traitement qu’à la Chine ou aux États-Unis. Les entreprises anglaises risquent de perdre 30 milliards de livres sterling par an, alors qu’un risque de récession est prévu pour le Royaume-Uni en 2019, en cas d’absence d’accord.