Avec les
bilans humains désastreux qui commencent à circuler et évoquent, sans qu’il
soit possible de les confirmer de source indépendante, des dizaines de morts et
de blessés parmi les forces de l’ordre et les civils, le silence du président
Ashraf Ghani fait l’objet de vives critiques.
Ce lundi 13 août,
un kamikaze a activé un engin explosif près du siège de la Commission
électorale afghane à Kaboul. Au moins un policier a été tué et un autre blessé.
L’attentat a eu lieu alors que se réunissait une grande foule de supporters
d’un candidat disqualifié aux législatives par les autorités, soupçonné d’avoir
des liens avec les organisations armées illégales.