Il sera jugé pour «outrage sur personne dépositaire
de l’autorité publique», selon Me Raphaël Kempf et le parquet de Paris. D’ici
cette date, il a pour interdiction de paraître à Paris tous les samedis et le
1er mai, conformément aux réquisitions du parquet, a indiqué son avocat.
À la tête de l’agence Taranis News, le journaliste
avait été placé en garde à vue samedi après avoir été interpellé place de la
République, en pleine mobilisation des «gilets jaunes».