Parmi ces pays figurent les États-Unis et la République de Corée ainsi que différents États situés en Asie, en Amérique latine, en Afrique et en Europe. Mais la Russie et la Chine ne sont pas signataires du document rédigé par la France et proposé depuis plus d'une semaine. «Nous encourageons la République populaire démocratique de Corée à éviter toute provocation» et «à continuer les discussions avec les États-Unis sur la dénucléarisation», ajoute la déclaration publiée au terme d'une conférence de quinze jours à l'ONU sur le Traité de Non-Prolifération (TNP).
Le vice-président américain Mike Pence a réaffirmé ce vendredi la position ferme des États-Unis concernant ce dossier nucléaire nord-coréen, et ce après les derniers essais de missiles nord-coréens. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo devrait se rendre la semaine prochaine en Russie pour discuter avec le président Vladimir Poutine et son homologue russe Sergei Lavrov de différentes questions internationales, et notamment de la République populaire démocratique de Corée.