Tout d’abord, joyeux anniversaire à notre ami français Raphaël Voydis! Que cette journée du 29 octobre soit pour vous pleine de tendresse et de joie!

Vous vous souvenez sans doute, mercredi dernier, lors du courrier des auditeurs, nous avons cité un constat de cet auditeur français indiquant qu’il lui était impossible de nous écouter sur 9730 kHz dans la plage horaire de 19h30 à 20h, en raison d’une très forte interférence de Radio Chine Internationale.

Nous avons donc demandé à nos auditeurs européens s’ils rencontraient le même problème. Beaucoup ont répondu par l’affirmative, notamment Rob den Boer, de Heinenoord, aux Pays-Bas, qui nous a écoutés le 23 octobre, et Christian Ghibaudo, de Tende, qui a suivi notre émission diffusée le 25 octobre.

De leur côté, Paul Jamet, qui réside à Isle-Adam, et Jean-Michel Aubier, d’Arçay, en France, rappellent que cela fait des années que ce phénomène existe.

Merci chers amis pour votre remarque, nous avons fait un rapport au service technique. Espérons qu’il trouvera une solution dans les meilleurs délais.

D’ailleurs, selon vos rapports d’écoute, dans la plage horaire de 20h30 à 21h, la fréquence 9730 kHz donne de très bons résultats.

En effet, Philippe Marsan, de Biganos, en France, nous a captés sur cette fréquence, le 22 octobre 2025 à 20h30, avec «un SINPO très correct de moyenne 4/5».

En ce qui concerne la fréquence 11885 kHz, la plupart de nos auditeurs constatent une très bonne réception (SINPO 4/5), que ce soit pour la plage horaire de 19h30 à 20h ou de 20h30 à 21h, comme en témoignent les rapports d’écoute effectués le 25 octobre par Christian Ghibaudo, de Tende, en France, ou par Dmitry Zhavoronkov, de la région Kirovskaya, en Russie.

Merci chers amis pour vos rapports d’écoute et votre fidélité!

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À la demande d’un auditeur allemand, Lutz Winkler, de Schmitten, nous voudrions vous parler aujourd’hui de l’assurance-maladie au Vietnam.

Mise en place et gérée par l’État, elle constitue l’un des fondements de la politique de protection sociale et vise à garantir à chaque citoyen un accès équitable aux soins de santé et à réduire les inégalités face aux dépenses médicales.

Tout participant se voit attribuer une carte d’assurance-maladie comportant un numéro d’identification personnel unique, lui permettant de bénéficier des services de santé dans les établissements publics et dans certaines cliniques privées agréées. Ce dispositif favorise à la fois la mutualisation des risques et la construction d’un système de santé durable.

Les assurés profitent de nombreux avantages: prise en charge partielle ou totale des frais médicaux, remboursement des médicaments et matériels médicaux inscrits sur la liste des prestations couvertes, ainsi qu’un soutien financier accru pour les maladies chroniques ou coûteuses. Selon les catégories d’adhérents, le niveau de remboursement varie, mais l’objectif reste le même: alléger la charge financière des familles et promouvoir la solidarité nationale.

Le système comprend deux formes principales : l’assurance obligatoire et l’assurance volontaire.

L’assurance obligatoire s’applique aux salariés, fonctionnaires, étudiants ou personnes couvertes par le budget de l’État. Les cotisations représentent 4,5% du salaire de base ou du revenu mensuel, partagées entre l’employé et l’employeur.

Quant à l’assurance volontaire, elle s’adresse aux personnes non éligibles au régime obligatoire. Le montant des cotisations, calculé sur la base du salaire minimum, diminue progressivement pour les membres d’un même foyer, encourageant ainsi une adhésion familiale.

Au-delà d’un simple dispositif financier, l’assurance-maladie vietnamienne traduit la volonté de l’État d’assurer à tous ses citoyens un droit fondamental : celui de se soigner dignement, sans crainte du coût.

Voilà cher Lutz Winkler, nous espérons avoir répondu à votre demande.

C’est la fin de ce courrier. Rendez-vous mercredi prochain!