Premier d’entre eux, "il ne doit y avoir aucune attaque d’aucune sorte depuis ou contre la centrale, en particulier ciblant les réacteurs, le combustible usé ou d’autres infrastructures, ou le personnel". Ces principes incluent également que le site ne soit pas utilisé pour stocker des armes lourdes ou du personnel militaire et que la centrale ne puisse être déconnectée du réseau électrique.
L’AIEA compte commencer à surveiller l’application de ces principes par l’intermédiaire de sa mission sur le site, a souligné Rafael Grossi.