Le site nucléaire de Natanz en iran. Photo
d'archives/REUTERS/Raheb Homavandi
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Abbas Araqchi, le
principal négociateur iranien sur le dossier, a par ailleurs annoncé la mise en
service d’un millier de centrifugeuses sophistiquées à Natanz. L’Agence internationale
de l’énergie atomique (AIEA) a été informée de la décision iranienne.
Cette annonce
intervient au lendemain des accusations portées par Téhéran contre Israël, dont
les services sont soupçonnés d’avoir saboté le site nucléaire de Natanz. Elle
se produit avant la reprise des discussions à Vienne sur la relance de l’accord
signé en 2015 sur le programme nucléaire iranien dont les États-Unis s’étaient
retirés en 2018 à l’initiative de Donald Trump.