Damas, la capitale syrienne, le 10 décembre 2024. Photo d’illustration: THX/TTXVN |
Ce dimanche toujours, l’envoyé spécial des Nations Unies pour la Syrie, Geir Pedersen, a appelé à la levée des sanctions internationales afin de permettre à ce pays du Moyen-Orient de restaurer son économie et de se reconstruire, tout en favorisant la réconciliation nationale et la construction d’une paix durable.
Le ministre des Affaires étrangères de la Turquie, Hakan Fidan, a exprimé dimanche sa volonté de jouer le rôle d’intermédiaire entre les États-Unis et le gouvernement de transition syrien. Hakan Fidan a également déclaré que la Turquie proposerait son soutien au gouvernement de transition syrien, tout en affirmant que la Syrie ne deviendrait pas un “champ de bataille pour les conflits”.