Le Premier ministre Abdullah Hamdok (photo: AFP/TTXVN)
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Placé en surveillance à son domicile, Abdullah Hamdok avait déclaré mardi, lors d’une réunion avec les ambassadeurs des pays de la troïka (les États-Unis, le Royaume-Uni et la Norvège), que la libération des ministres détenus et la reprise des activités du gouvernement seraient la première condition pour résoudre la crise au Soudan.
Ses propos interviennent le lendemain d’une annonce du représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies au Soudan, Volker Peretz, sur les efforts de médiation en cours à Khartoum.