Photo d'illustration
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Dans sa déclaration à la presse, le Conseil a fait part de sa préoccupation face à la prise de pouvoir militaire qui a eu lieu le 25 octobre au Soudan et à la dissolution de certaines institutions transitoires du pays.
Il a ensuite demandé aux militaires de relâcher immédiatement toutes les personnes détenues et de respecter fermement les principes de l'ordonnance constitutionnelle de 2019 et de l'accord de paix de Juba de 2020, qui sont les deux accords fondamentaux pour la transition démocratique au Soudan.