Vue d’ensemble du réacteur nucléaire de Bushehr, situé à 1.200 km au sud de Téhéran, le 21 août 2010. Photo d’archives : REUTERS/Raheb Homavandi
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«Bien entendu, la diplomatie, au sens de maintenir contacts et consultations, se poursuivra», a souligné le porte-parole iranien. «Chaque fois que nous estimerons que la diplomatie peut être efficace, nous prendrons assurément des décisions en fonction des intérêts et des priorités du pays», a-t-il précisé.