Le président iranien, Hassan Rohani, lors d'un discours à l'occasion de la Journée nationale de la technologie nucléaire iranienne. Photo d'illustration: AFP/TTXVN |
Il n’en demeure pas moins que les risques d’échec sont là, même si le Royaume Uni, la France et l’Allemagne ont lancé un appel à la prudence.
Même scepticisme du côté du Département d’État américain, qui a fait part de difficultés probables, en dépit des propos du président iranien, Hassan Rouhani, qui a réitéré ses engagements.