Des manifestants rassemblés à Yangon, capitale du Myanmar, le 3 mars 2021. Photo: AFP /TTXVN |
«C'est le moment pour la junte d'agir» vers un apaisement, a affirmé à la presse ce mercredi Christine Schraner Burgener. «Il n'est pas trop tard», a-t-elle insisté, tout en relayant son inquiétude et sa «consternation», partagée selon elle par le secrétaire général Antonio Guterres. Une nouvelle réunion du Conseil de sécurité de l’ONU aura probablement lieu le 5 mars.
De son côté, le ministère russe des Affaires étrangères a également annoncé le 3 mars qu'il était prêt à coopérer avec l’ASEAN pour trouver une solution pacifique à la situation au Myanmar.