Objectif :
stabiliser le marché pétrolier dans un contexte de vives tensions dans le Golfe
qui menace les approvisionnements mondiaux en brut.
L'Iran, également membre de l'Opep, était absent
de la rencontre. Mais le pays a été au coeur des discussions qui intervenaient
quelques jours après des «actes de sabotage» sur des navires dans le Golfe, et
après des attaques contre un oléoduc saoudien revendiquées par les rebelles
yéménites soutenus par Téhéran.
Ces discussions
ont aussi lieu sur fond de chute des exportations de brut iranien, provoquée
par les sanctions imposées par Washington contre Téhéran.