Photo: G20 |
Leur déclaration finale publiée à la fin de cette rencontre à Goa ne mentionne même pas le charbon, qui est pourtant l'un des plus gros contributeurs au réchauffement climatique. Cet échec intervient après une volonté affichée en mai à Hiroshima. Les dirigeants du G7 souhaitaient «accélérer» leur «sortie» des énergies fossiles, alors que les températures mondiales atteignent des records, causant vagues de chaleur, inondations et incendies.
Pour expliquer cette impasse, l'Inde, qui préside le G20, a expliqué que certains des membres souhaitaient une réduction des énergies fossiles non adossées à des dispositifs de captage ou de stockage de carbone, «conforme aux différentes circonstances nationales».
En revanche, d'«autres ont une opinion différente sur le fait que les technologies de captage et stockage de carbone répondent à ces besoins.»