Selon lui, Moscou n'avait aucune raison à la veille de la présidentielle
et à quelques mois de la Coupe du monde de football organisée en Russie
d'empoisonner son ex-espion, qui avait été condamné pour trahison avant de
faire l'objet d'un échange de prisonniers en 2010. Il a ajouté que la Russie
avait "de nombreuses questions" concernant cette affaire et que "l'incapacité
de la Grande-Bretagne
à y répondre signifiera que tout cela n'est qu'une invention et plus
concrètement une provocation flagrante".