Des étudiants manifestent devant l'université de Columbia à New York, aux États-Unis, le 30 avril 2024. Photo : AFP/AVI

Ils ont appelé à l’arrêt des investissements de leur université dans des entreprises de fabrication d’armes, à l’abandon des accusations portées contre les étudiants manifestants et au départ de la police du campus.

Plus tôt, le 3 mai, une quarantaine d'étudiants qui avaient installé un camp dans l’enceinte de l’établissement avaient été arrêtés par la police et puis suspendus par leur université. Plus de 2.000 autres manifestants sur les campus universitaires du pays en faveur de la Palestine ont été arrêtés ces dernières semaines.

La vague de manifestations pro-palestiniennes des étudiants aux États-Unis s’est intensifiée. Certains lycées ont également commencé à y participer. Des étudiants de l’Illinois, de l’Oregon, du Texas et de plusieurs villes de l’État de Washington ont organisé des manifestations. À New York, des universités telles que The New School, Baruch College, Fordham et Cooper Union ont prévu d’installer des campements, d’organiser des marches ou des rassemblements pour exprimer leur solidarité avec la Palestine.