C’est une nouvelle poussée de fièvre dans le nord-ouest du pays en guerre, où une offensive du pouvoir de Damas et son allié russe a fait près de 700 000 déplacés.
L'augmentation des bombardements et des frappes aériennes à Idleb et dans les régions avoisinantes a profondément alarmé les Nations Unies, préoccupées par la sécurité et la protection de plus de trois millions de civils dans la région, a déclaré lundi Farhan Haq, porte-parole adjoint du secrétaire général de l'ONU. Le Bureau des droits de l'homme de l'ONU a établi qu'au moins 49 civils, dont 14 femmes et 17 enfants, ont été tués entre le 1er et le 5 février cette année.