Le ministre des Finances, Éric Lombard, y voit «une bonne nouvelle», qui témoigne de la robustesse de l’économie française, malgré les tensions liées aux négociations tarifaires entre l’UE et les États-Unis.
Le défi reste néanmoins important pour l’exécutif. Le Premier ministre François Bayrou doit réduire le déficit budgétaire de 5,4% du PIB cette année à 4,6% en 2026, avec l’objectif d’atteindre les 3% exigés par Bruxelles d’ici 2029.