Image satellite d'un site nucléaire iranien (photo: AFP/TTXVN)
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L'Iran avait posé trois conditions au remplacement des caméras endommagées à Karaj : une enquête judiciaire et sécuritaire sur l'ampleur des sabotages commis dans l'usine de Karaj, la condamnation de ces actes par l'AIEA, et la possibilité pour l'Iran de procéder à une inspection technique et sécuritaire des caméras avant leur installation.
Jeudi, M. Kamalvandi a annoncé qu'après un échange entre l'OIEA et l'AIEA, l'agence internationale avait accepté de coopérer avec l'OIEA pour garantir que ses caméras ne puissent pas être utilisées pour commettre des actes de sabotage dans le complexe TESA de Karaj, qui fabrique des pièces pour centrifugeuses dans le centre-nord du pays.