Le président iranien Ebrahim Raïssi. Photo: AVI |
Interrogé la semaine dernière par CNN, le directeur général de l'AIEA Rafael Grossi avait répondu qu'il ne comptait «absolument pas» arrêter l'enquête. «Cette idée que politiquement nous allons arrêter de faire notre travail est inacceptable pour nous», avait-il ajouté.
Lundi également, Ebrahim Raïssi a rejeté l'idée d'une rencontre avec le président américain Joe Biden lors de l'Assemblée générale des Nations unies qui s'ouvrira le 13 septembre à New York. Le président français Emmanuel Macron estimait vendredi «la balle» était «dans le camp des Iraniens», jugeant qu'un accord serait «utile» même s'il «ne règle pas tout».