L’ex-dirigeante birmane, Aung San Suu Kyi (gauche) lors du procès le 24 mai 2021 (photo: AFP/TTXVN)
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Aung San Suu Kyi, assignée à résidence depuis le 1er février 2021, a été notamment reconnue coupable d’importation illégale de talkies-walkies. Elle avait déjà été condamnée en décembre à quatre ans de détention pour avoir enfreint les restrictions sur le coronavirus, une sentence ramenée à deux ans par les généraux au pouvoir.