La résolution met également l’accent sur la nécessité urgente d’étendre l’aide humanitaire et de renforcer la protection des civils dans la bande de Gaza.
Les nations arabes ont unanimement salué cette décision, la considérant comme un premier pas essentiel pour arrêter l’effusion de sang et assurer la protection des civils palestiniens. Elles ont également exhorté toutes les parties influentes du conflit à respecter cette nouvelle résolution ainsi que les autres normes juridiques internationales, y compris les droits de l’homme.
Par ailleurs, les médias israéliens ont signalé une impasse dans les négociations de plusieurs mois pour un nouveau cessez-le-feu dans la bande de Gaza, malgré les efforts de médiation des États-Unis, de l’Égypte et du Qatar. Le Hamas a refusé d’accepter que des unités de combat israéliennes puissent rester à Gaza pendant une trêve éventuelle. Un haut responsable du Hamas a accusé les États-Unis d’être à l’origine de l’échec des négociations, en raison de leur incapacité à assurer l’objectivité nécessaire dans leur rôle de médiateur.