Les intervenants ont proposé d’intervenir dans les écoles pour présenter ces documents aux écoliers. Le docteur Nguyen Nha, membre de l’association des historiens de Ho Chi Minh-ville, a précisé :
«Ces documents doivent être traduits en plusieurs langues étrangères, a fortiori en chinois et en japonais, pour ensuite être mis à disposition des universités, des établissements qui dispensent un enseignement sur l’Asie ou dans des écoles politiques et diplomatiques».