Paul Jamet, d’Isle Adam, en France, nous a envoyé un enregistrement de notre émission  diffusée le 18 août sur la fréquence 11885khz. Il écrit: “En ce moment, la réception est très bonne. Votre signal est stable et non perturbé.”

Un autre auditeur français, Guy Le Louet, de Rosporden, a suivi notre émission le 16 août 2021 de 19h30 à 20h, également sur la fréquence 11885khz. Selon lui, la réception était très moyenne (SINPO 42332). Il nous pose la question suivante: “Y a-t-il des cliniques privées au Vietnam?” La réponse dans la deuxième partie de cette rubrique.

Sur cette même fréquence et à la même heure, Jouad Saber, de Settat, au Maroc,  constate en revanche une bonne réception les 15, 16 et 18 août (SINPO 54444).

Madhab Chandra Sagour et Siddhartha Bhattacharjee du Bengale occidental, en Inde, accusent une bonne réception sur la fréquence 7220 kHz, du 16 au 23 août, de 16h30 à 17h (SINPO 4/5).

Merci chers amis pour vos rapports d’écoute et votre fidélité.

Vinmec, une clinique privée (photo: Internet)

Je réponds maintenant à la question de Guy Le Louet: “Ya-t-il des cliniques privées au Vietnam?”

Les cliniques privées existent au Vietnam depuis les années 1990, suite à l’adoption de la politique de renouveau (doi moi) en 1986.

Le  Vietnam encourage les investissements privés dans tous les secteurs de la santé: de la production et l’approvisionnement de médicaments et d’équipements sanitaires jusqu’à la formation et la consultation médicale. Mais ce sont les cliniques qui ont la préférence des investisseurs.

Grâce aux amendements apportés en 2009 à la loi sur la consultation et le traitement médicaux, le nombre des cliniques privées ne cesse d’augmenter.

En 2011, le pays recensait 102 cliniques privées et 5.822 lits. Aujourd’hui, le pays en compte 248 et 15.475 lits. À cela s’ajoutent 21.048 cabinets privés de consultation médicale.

Pour combattre l’épidémie de Covid-19, les autorités vietnamiennes peuvent désormais compter sur le soutien des cliniques privées. Si en 2020, les patients de Covid-19 étaient exclusivement soignés dans les hôpitaux publics, les patients les moins graves sont désormais pris en charge par les établissements privés.

Voilà cher Monsieur Guy Le Louet, j’espère avoir répondu à votre question. C’est la fin de ce courrier. Rendez-vous mercredi prochain.