Le transport scolaire au Vietnam

Thanh Phuong
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(VOVWORLD) - Mohamed Bouzeboudja, d’Oran, en Algérie, nous demande de parler du transport scolaire au Vietnam. Ce que nous ferons dans la deuxième partie de cette rubrique!

Examinons tout d’abord les rapports d’écoute reçus récemment!

Juan Carlos Pérez Montero, de Valladolid, en Espagne, accuse une excellente réception (SINPO 5/5) sur la fréquence 7220 kHz, le 9 novembre, de 16h30 à 17h.

Même constat chez Dewan Rafiqul  Islam, de Nagaon, au Bangladesh qui nous a écoutés, le 5 novembre, sur la même fréquence et à la même heure.

Toujours sur la fréquence 7220 kHz et dans la tranche de 16h30 à 17h, Paul Shivendu, du Bengale occidental, en Inde, a pu nous capter les 22, 23, 28 et 29 octobre dans des conditions moyennes (SINPO 43333).

Paul Jamet, de L’Isle-Adam, en France, signale de fortes perturbations sur la fréquence 11885 kHz, les 26 octobre, 2 et 9 novembre, à 20h30.

Le 11 novembre, sur cette même fréquence et à la même heure, Rob den Boer, de Heinenoord, aux Pays-Bas, accuse une réception moyenne (SINPO 32333).

Merci chers amis de vos rapports d’écoute et de votre fidélité!

Le transport scolaire au Vietnam - ảnh 1Un bus de ramassage scolaire (photo: dantri.com.vn)

À la demande de Mohamed Bouzeboudja, un auditeur qui habite Oran, en Algérie, je voudrais vous parler du transport scolaire au Vietnam.

Autrefois, dans les villes, les élèves allaient à pied ou à vélo aux écoles situées près de chez eux, dans un même quartier ou un même arrondissement. À la campagne, les distances étaient plus grandes, mais les élèves allaient aussi à l’école par leurs propres moyens. Dans les régions montagneuses, de nombreux internats ont été ouverts en raison des difficultés de déplacement des élèves.

De nos jours, dans les villes, les élèves peuvent choisir une école en fonction de leur compétence, sans se soucier des conditions de déplacement, car de nombreuses écoles, notamment privées, proposent des bus de ramassage scolaire dont les frais reviennent à la charge des parents.

Ce service de transport scolaire existe également à la campagne et dans les régions montagneuses, toujours à l’initiative des écoles et des parents d’élèves.

Dans les régions montagneuses, les internats restent un bon choix pour les élèves, car ces établissements leur permettent d’éviter de longs déplacements quotidiens.

Cependant, il n’existe pas un réseau national de transport scolaire régularisé par l’État.

Voilà, cher Mohamed Bouzeboudja, j’espère avoir répondu à votre question.

C’est la fin de ce courrier. Rendez-vous mercredi prochain!

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