Joël Touchard constate une mauvaise réception (SINPO 211) sur la fréquence 11885 kHz, le 2 décembre, de 19h30 à 20h.
Michele Gasparri, un résident de Civitanova Marche, en Italie, nous fait savoir que, le 2 décembre, de 20h30 à 21h, la réception était plutôt mauvaise (SINPO 32222) sur la fréquence 9730 kHz.
Sur cette même fréquence, mais dans la plage horaire de 19h30 à 20h, le 1er décembre, Juan Carlos Pérez Montero, de Valladolid, en Espagne, a pu nous capter dans de bonnes conditions (SINPO 34533).
Toujours sur cette même fréquence et dans la même plage horaire de 19h30 à 20h, le 28 novembre, Ratan Kumar Paul, du Bengale occidental, en Inde, signale une réception moyenne (SINPO 3/5).
Siddhartha Bhattacharjee, un autre auditeur du Bengale occidental, constate une faible réception, malgré un SINPO de 3/5, le 30 novembre, de 16h30 à 17h, sur la fréquence 7220 kHz.
Naji Muddin, qui réside également dans le Bengale occidental, en Inde, rapporte une bonne réception (SINPO 44343) les 2 et 3 décembre, sur cette même fréquence, 7220 kHz, et à la même heure (de 16h30 à 17h).
Saleem Akhtar Chadhar, de Chiniot, au Pakistan, a aussi écouté notre émission diffusée sur 7220 kHz, le 30 novembre et le 1er décembre, de 16h30 à 17h. Selon lui, la réception était excellente (SINPO 5/5).
Muhammad Aqeel Bashir, un autre auditeur pakistanais résidant à Jhang City, nous informe que, le 3 décembre, de 13h à 13h30, l’écoute sur la fréquence 7285 kHz était bonne (SINPO 433).
Un auditeur du Bengale occidental, Bidhan Chandra Sanyal, signale une très bonne réception (SINPO 4/5) sur la fréquence 7285 kHz, les 1er, 2 et 3 décembre, entre 19h30 et 20h.
Merci, chers amis, pour vos rapports d’écoute et votre fidélité!
Photo: truyencotich.vn |
À la demande de Joël Touchard, un auditeur français, nous vous présentons maintenant un conte vietnamien: «La femme du guerrier».
Il était une fois un jeune couple qui vivait dans un bonheur parfait. Ils venaient juste d’avoir un bébé lorsque la guerre éclata. Le mari fut enrôlé et envoyé combattre aux frontières. Les années passèrent. L’enfant grandit et commença à parler.
Un soir, un violent orage éclata. Le tonnerre fut tellement assourdissant qu’il fit trembler les fenêtres et les portes. Pris de panique, l’enfant se mit à hurler. Pour le calmer, sa mère lui dit que son père était là et le protégeait. Elle eut l’idée de montrer son ombre sur le mur en lui disant: «N’aie pas peur, voilà ton père.» L’enfant regarda l’ombre et lui dit: «Bonsoir, papa.» Rassuré par cette présence paternelle, il sombra dans le sommeil.
À partir de ce jour, l’enfant prit l’habitude de réclamer son père avant de s’endormir afin de lui souhaiter : «Bonne nuit, papa.» La jeune maman dut ainsi se pencher tous les soirs devant la lampe pour créer l’ombre bienveillante.
La guerre se termina enfin. Le mari revint à la maison. Il se présenta auprès de son enfant, mais au lieu d’embrasser ce dernier, l’enfant le repoussa vivement: «Laisse-moi tranquille, tu n’es pas mon père. Celui-ci ne vient que la nuit.» Le mari, assommé de douleur, crut que sa femme l’avait trompé durant toutes ces années d’absence. Blessé dans son amour-propre, il décida de ne pas l’interroger à ce sujet, mais il se montra dès lors froid et distant envers elle et l’enfant. Son épouse continua à lui témoigner son amour toujours intact et crut, tout d’abord, que la guerre avait transformé son époux.
Les jours passèrent. L’homme s’enfonça dans le mutisme, et sa colère intérieure prit de plus en plus d’ampleur. Il s’en alla un beau jour sans laisser aucune explication. La femme, inquiète, continua à attendre de nouveau son retour. Cependant, son esprit était tourmenté, et elle s’interrogeait inlassablement sur les raisons de son rejet par son mari. La tristesse et le désespoir s’emparèrent progressivement de la jeune femme. Dans un acte désespéré, elle confia l’enfant à ses proches et mit fin à ses jours en se noyant dans la rivière.
Apprenant la mort de sa femme et pris de remords, l’homme revint à la maison. Le soir, lorsqu’il alluma la lampe dans la chambre de son fils, celui-ci, content de voir apparaître une ombre sur le mur, s’écria: «Regarde, voilà mon papa, il vient pour me souhaiter bonne nuit !» L’homme comprit alors sa méprise.
Le lendemain, il emmena son fils au bord de la rivière pour implorer le pardon de sa femme. L’homme promit à sa défunte épouse de rester seul jusqu’à la fin de sa vie pour s’occuper de leur enfant et qu’aucune autre femme ne la remplacerait dans son cœur.
Voilà, cher Joël Touchard, nous espérons avoir répondu à votre demande.
C’est la fin de ce courrier. Rendez-vous mercredi prochain!