Parmi les dossiers à l’étude figurent la situation économique catastrophique du pays, l’application d’un accord sur l’échange de prisonniers conclu cette semaine, le contrôle de la ville portuaire de Hodeida et la réouverture de l’aéroport de la capitale Sanaa.
Mais si des responsables onusiens se sont félicités de «l’esprit positif» dans lequel se tiennent ces consultations, le ton demeure largement hostile entre les deux camps. Le gouvernement a accusé les rebelles houthis de ne «pas être sérieux» dans la recherche d’un règlement à la guerre.