Photo d'illustration
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Les participants ont insisté sur la responsabilité des autorités locales et des communautés, que ce soit dans la surveillance épidémiologique, la détection des cas de contamination ou la gestion des migrants. Les établissements sanitaires sont tenus de traiter les patients avec de bons médicaments, et en quantité suffisante. Quant aux habitants, ils doivent vider tous les réservoirs d’eau stagnante susceptibles de contenir les larves de moustiques, et utiliser des moustiquaires… La coopération internationale a également été identifiée comme un moyen de lutter contre le paludisme.
Selon Nguyên Quang Thiêu, directeur adjoint de l’Institut central du paludisme, des parasites et des insectes, le Vietnam s’est fixé pour objectif d’éradiquer complètement le paludisme en 2030.