Photo d'illustration
|
La PrEP, qui consiste en la prise quotidienne d’un traitement
antirétroviral (à base de tenofovir disoproxil fumarate), est considérée aussi
utile que le préservatif, pour prévenir l’infection. Ce traitement, qui est mis
en œuvre à titre expérimental depuis mars 2017, a été administré à 1200
personnes à haut risque. Selon Nguyên Hoang Long, chef du Département de
prévention et de lutte contre le VIH/Sida, du ministère de la Santé, ce nouveau
traitement sera appliqué dans les 11 provinces et villes ayant le taux le plus élevé
de séropositifs. L’objectif est de porter le nombre des séropositifs ayant
accès à des médicaments antirétroviraux à 7300 d’ici 2020.