: Logo de l’AIEA et drapeau iranien. Photo REUTERS/Dado Ruvi |
Selon lui, aucune visite de sites nucléaires n’aura lieu tant qu’un accord sur ce cadre n’aura pas été trouvé.
Depuis la frappe militaire israélienne visant des sites nucléaires iraniens en juin, les inspecteurs de l’AIEA n’ont pas pu accéder aux installations pendant douze jours. Son directeur général, Rafael Grossi, a réaffirmé que les inspections restaient une priorité absolue pour l’agence.
Téhéran accuse l’AIEA d’avoir facilité des frappes américaines et israéliennes en publiant, le 31 mai, un rapport critique. Ce document a conduit le Conseil des gouverneurs, qui regroupe 35 États membres, à juger que l’Iran violait ses obligations de non-prolifération nucléaire. L’Iran nie poursuivre l’arme atomique et affirme rester engagé dans le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).