Ce jeudi, le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres s’est félicité de cet accord, qu’il a qualifié de «tournant pour le monde». Il a exhorté les pays à le mettre en œuvre avec sérieux et à entamer la transition vers une économie verte. Il a également souligné la nécessité d’abandonner les énergies fossiles.
L’Union européenne et les États-Unis ont également exprimé leur satisfaction.
Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a déclaré que l’accord marquait le début de l’ère post-énergies fossiles et que les pays devaient agir de toute urgence au cours de cette décennie.
John Kerry, envoyé spécial américain pour le climat, a affirmé que la déclaration de la COP28 adressait des messages très forts et que le monde devait faire des efforts pour atteindre l’objectif de neutralité carbone.