Les sanctions sont en vigueur depuis juillet 2014, à la suite du
rattachement de la Crimée par la Russie et en raison du soutien direct de
Moscou aux séparatistes de l'est de l'Ukraine. Le Kremlin a réagi en disant que
la Russie se réservait le droit d'adopter des mesures de rétorsion contre l'UE.
"Nul n'a aboli le principe de réciprocité", a déclaré le porte-parole
du Kremlin, Dmitri Peskov.