Cette clause permet aux ressortissants américains, dont les biens ont été nationalisés dans les années 59-61 par Cuba, de poursuivre, devant les tribunaux américains, des entreprises étrangères se livrant à un trafic sur ces biens. Cette décision de Donald Trump montre qu’il n’a pas complètement infléchi la politique d’ouverture avec La Havane initiée par son prédécesseur Barack Obama.
La loi Helms-Burton, de son vrai nom «Loi de liberté cubaine et de solidarité démocratique » est considérée comme l’une des lois fédérales américaines la plus sévère destinée à renforcer l'embargo contre Cuba. Durant ses deux mandats présidentiels, Barack Obama a gelé tous les six mois cette clause de la loi par des décrets.