La Première ministre britannique Theresa May
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La Première ministre britannique, qui quittera ses fonctions dans une semaine, s’est émue de la radicalisation du débat politique, sans en imputer la responsabilité à quiconque précisément.
Ses auditeurs y ont vu des allusions aux propos de Boris Johnson, favori de la course à sa succession, et de Donald Trump. L’échec de son plan de sortie de l’UE, rejeté à trois reprises par la Chambre des communes, restera «son plus grand regret», a-t-elle poursuivi, en expliquant avoir fait de son mieux pour rassembler une nation profondément divisée par le référendum de 2016.