Des soldats de l'opération Sentinelle à Paris le 25 juin. Photo: Ludovic Marin/AFP |
Alors que la piste terroriste avait été écartée en premier lieu, la section antiterroriste du parquet de Paris s'est saisie du dossier dimanche. Elle a ouvert une enquête pour «association de malfaiteurs terroriste en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes» et «tentatives d’assassinat sur personnes dépositaires de l’autorité publique».
En garde à vue, l’homme a affirmé qu'«il voulait commettre un attentat contre un militaire et était en lien avec un membre du groupe jihadiste Etat islamique qui l’aurait encouragé à passer à l’acte», selon une autre source proche de l’enquête.