L'agence onusienne atteste notamment que Téhéran n'a pas enrichi d'uranium à des degrés prohibés ni constitué de stocks illégaux d'uranium faiblement enrichi ou d'eau lourde.
Le Congrès américain doit décider dans les prochaines semaines s'il juge nécessaire de rétablir les sanctions levées après que Téhéran a accepté de brider son programme nucléaire, une perspective qui signerait de facto la fin de l'accord et qu'ont dénoncée les autres parties prenantes à l'accord, dont l'UE.