La demande de cette réunion est signée de la France, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, du Koweït, de la Suède, de la Pologne, du Pérou, des Pays-Bas et de la Côte d’Ivoire, a-t-on précisé de mêmes sources. Le gouvernement syrien a démenti la responsabilité des forces gouvernementales, tandis que le président américain Donald Trump a dénoncé une "attaque chimique insensée", prévenant qu'il faudra en "payer le prix fort". Le ministère russe des Affaires étrangères a pour sa part qualifié d’"intox" les informations sur le recours des troupes syriennes à des armes chimiques à Douma, affirmant que ces allégations servaient à justifier une intervention militaire étrangère en Syrie.