Les experts de l' OIAC ne peuvent se rendre à Douma - Photo AFP/TTXVN
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Cette attaque présumée aux "gaz toxiques" qui a
fait au moins 40 morts à Douma le 7 avril selon des secouristes, a déclenché
des frappes de Washington, Paris et Londres contre des installations du pouvoir
syrien et un pic de tensions diplomatiques inédit.
Le régime de Bachar al-Assad a démenti toute implication,
alors que l'enquête censée vérifier s'il y a eu attaque chimique est en
suspens, voire menacée.
A la demande du régime Assad, une équipe de l'Organisation
pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) est arrivée à Damas samedi
dernier. Mais elle n'a pour l'instant pas pu quitter la capitale syrienne.