L'«ultimatum» serait lancé parallèlement à «un
engagement de la Russie et de la Syrie à ne pas procéder à des attaques
militaires». «La Russie et la Turquie devraient être les garants d’un tel plan
qui serait aussi soutenu par l’ONU», a-t-il estimé. Staffan de Mistura a aussi
plaidé pour la création de «routes d’évacuation volontaire dans toutes les
directions, est, nord, sud». «L’ONU est prête» à y contribuer, a-t-il précisé.