Jérusalem |
Ils rejoignent le Maroc, dont le roi préside le comité Al-Qods, dans la protestation contre cette décision américaine.
Lors d'un entretien téléphonique jeudi soir avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, le président russe Vladimir Poutine a déclaré être «fortement préoccupé» par la décision de M. Trump, selon un communiqué du Kremlin. «Ce genre de mesure peut barrer la voie aux perspectives du processus de paix au Moyen-Orient», a indiqué le Kremlin, qui a déclaré «inadmissible» toute escalade des tensions et appelé à «faciliter la reprise des négociations israélo-palestiniennes».
Des manifestations sont également prévues ailleurs dans le monde musulman, notamment à Istanbul et en Malaisie, au lendemain de celles qui ont eu lieu du Pakistan à la Turquie en passant par la Tunisie et la Jordanie où plusieurs centaines de manifestants ont scandé «Mort à Israël» et brûlé des portraits de Donald Trump.