A l'issue d'une première journée de rencontres, ils ont adopté une déclaration commune contre le terrorisme, appelant les fournisseurs d’internet et les réseaux sociaux à agir urgemment en développant et partageant de nouveaux outils à même de détecter des contenus incitant à la violence. Dans cette déclaration, les dirigeants réaffirment également leur volonté de coopération anti-terroriste afin notamment d’empêcher les combattants européens formés à l’étranger de rentrer au pays. Le nom et la nationalité de ces combattants devront désormais être partagés avec les autres pays afin d’éviter toute nouvelle tragédie.