Le Liban a annoncé envoyer des équipes de secouristes sur place, y compris 35 ingénieurs mais aussi un régime de forces civiles libanaises et de la Croix-rouge libanaise.
Le gouvernement des Émirats arabes unis a, quant à lui, annoncé qu'il enverrait sept vols de secours transportant des équipes de recherche et de sauvetage ainsi que du matériel médical en Turquie et en Syrie. Les Émirats arabes unis ont également mis en place un hôpital de campagne en Turquie pour servir le traitement des personnes à Kahramanmaras, l'épicentre du tremblement de terre et à la ville de Gaziantep.
L’Égypte a, de son côté, annoncé apporter toute l’aide humanitaire possible à la Syrie et à la Turquie.
Du côté de la Chine, le responsable de l’Agence de coopération internationale pour le développement (CIDCA) a déclaré que ce pays enverrait une aide de 5,9 millions de dollars mais aussi du matériel d’urgence en plus des programmes d’aide alimentaire.
La Finlande, pour sa part, fournira une aide humanitaire d’un millions d’euros à la Turquie et à la Syrie via la Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (IFRC).
La Suède, quant à elle, accorde un aide supplémentaire de 2,8 millions de dollars à la Turquie et à la Syrie qui s’ajoute aux 663.000 dollars promis auparavant.
De la part des institutions et organes internationaux, l’ONU a annoncé accorder 25 millions de dollars à la Turquie et à la Syrie au service des opérations humanitaires et y enverra des équipes de secouristes en fonction des besoins. Le Croissant-Rouge international a annoncé qu'il envoyait six équipes pour soutenir la recherche et le sauvetage et fournir des soins d'urgence aux zones touchées.
L’Union européenne a, quant à elle, mobilisé plus de 27 équipes de recherche et de sauvetage et des équipes médicales, collectivement de 19 pays européens.
De son côté, l’OTAN fait preuve de solidarité avec la Turquie en déployant une force de 1.400 personnes de 20 pays alliés et partenaires de l'OTAN en Turquie.