Or, le géant gazier précise que les livraisons vers la Chine augmentent. C'est donc l'Union européenne, qui balaye pour l'instant toute éventualité d'un embargo sur le gaz russe, qui pâtit de cette baisse d'approvisionnement.
Après la Pologne et la Bulgarie, c'est au tour des Pays-Bas et de la Bulgarie d'être coupés des exportations russes. Gazprom a en effet annoncé cette semaine qu'il cessait son approvisionnement, les deux États ayant refusé de le payer en roubles, comme l'exige désormais le Kremlin.