L’ex-président sud-coréen Yoon Suk-yeol. Photo: REUTERS/Kim Hong-Ji/Pool |
Le juge Nam Se-jin a accédé à la demande du procureur spécial, craignant une destruction de preuves. Yoon Suk-yeol, transféré au centre de détention d’Uiwang, fait face à cinq chefs d’accusation liés à la convocation illégale d’une réunion de cabinet avant la déclaration de la loi martiale le 3 décembre 2024.
Il s’agit de la deuxième arrestation de l’ex-président après celle de janvier, annulée par un tribunal en mars.